Francofolies 2013 : Day 1, la journée des BG
Vendredi midi, nous voilà toutes et tous en route vers le soleil et le port tout mignon de La Rochelle. Arrivée sous une grosse cagne, et la bonne humeur surgit instantanément !
On s’installe en bord de mer, on fait trempette des pieds, on découvre nos tote-bag remplis de CDs et de papiers promotionnels, puis on va quand même écouter de la musique. On n’est pas là pour bronzer … (juste un peu)
On commence par le beau Bastian Baker, que j’appelle Benjamin, et BastiEn par Swann. allez savoir pourquoi. Il est beau gosse okay, mais sa musique est réservée à un quotat de jeunes demoiselles de 16 à 19 ans.
Toujours sur la grande scène Saint Jean d’Acre, c’est Cali qui a foutu le feu au public. D’ailleurs on t’en parle mieux par ici.
Swann, elle a préféré aller pleurer sur Benjamin Clementine. Chacun son trip tu me diras. On se demande juste si le garçon n’était pas mannequin dans une ancienne vie. (journée des BG je vous dis)
Car inutile de te rappeler (tu l’as sans doute déjà lu sur notre page Facebook),je suis montée sur scène avec plusieurs photographes après avoir été invitée directement par Cali. Rock’n’roll ! (Un peu flippant si tu veux les détails croustillants car j’avais mon “gros” zoom, et aussi une superbe jupe transparente).
Ah j’oubliais, Cali s’est aussi un peu pris pour Dieu. Et ça a marché. Enchaînement avec l’enthousiasme débordant de Raphael qui a eu le courage de venir avec son trench par 28 degrès.
Mais bon, c’est la journée des beaux gosses, alors on pardonne facilement. N’est-ce pas Swann ?
On est quand même parti voir tous les petits stands qui se sont installés au bord du port : vêtements, bijoux… et nourriture ! On en a profité pour admirer la fin de la journée, et la belle architecture de la ville, entre pierres blanches et arcades.
Du coup on est allé au village Francofou pour écouter la sosie vocale d’Adèle, en plus mince, et en plus française surtout. Il n’empêche que certaines intonations sont frappantes de ressemblance. !
Et puis on est revenu voir le tout petit set d’Elephant, avant de se laisser submerger par la Patrick mania.
On a remué du popotin comme jamais, on a crié, on a dansé, on a fait des vieux mouvements de bras, et on a adoré ce concert. Forcément, c’est Patou.
A demain les Francos !