Ce qu’il faut retenir de Beauregard 2013 ?
C’est samedi que j’arrive à Caen. Découvert du site : magique. Du vert partout, un château en guise de décor, pas ou peu de festivaliers bourrés ni de gros fumeurs d’herbes. Quelques uns. Pas méchant. Grande respiration à pleins poumons : pas d’odeur d’huile dégueu qui t’agresse les narines. Cool, un f’estival safe, green. Très green. Deux scènes, des groupes qui jouent en alternance pour ne pas se chevaucher, un ballet incessant de va-et-vient, beaucoup d’enfants et de familles. D’hipsters aussi. Normal. La programmation très indé (à part quelques fausses notes type Olivia Ruiz). Rapide compte rendu.
J’ai aimé : l’énergie du fantastique Miles Kane, le show planant de The Maccabees (et son guitariste), le sourire sur le visage des Lumineers, la classe de Benjamin Biolay, le second degré de The Hives
J’ai pas aimé : la non-chalence de Jake Bugg et un live inutile on met le CD sur scène, ça fait le même effet. Le rock chiant de Smashing Pumpkins, la voix de crécelle d’Olivia Ruiz, Balthazar qui tirait la tronche sur scène.