Francofolies Day 3
Ta Ta TaTaTa Ta Ta TaTaTa (là, il faut que tu t’imagines le thème principale de Mission Impossible, parce que cette troisième journée ressemblait à ça. 11 H Folies Matinales, d’abord avec Gael Faure, puis Mathias Malzieu. Pause travail (parce que oui ça bosse beaucoup,même si j’aimerai passer mon temps à boire des mojitos dans le patio). Puis Elephant, puis Auden, puis Hugh Coltman, puis Lilly Wood & the Prick, Benjamin Biolay, Saez, Skip The Use. Avec un pincement au coeur j’ai du faire l’impasse sur Gaetan Roussel qui reprend Bashung. J’ai aussi fait l’impasse sur les sœurs Boulay. Mais bon, on peut pas tout faire.
Ça commence donc dans le CCN. Gael Faure et Vincent Brulin chante 5 titres du futur album du premier larron. Douceur et mélancolie au programme.
Puis Mathias Malzieu a fait jouir une femme dans une chapelle, lu son bouquin (le plus petit baiser jamais recensé), et raconté des trucs cochons.
Au théâtre Verdière, je decouvre le poète-folk Auden, qui manie comme de trop rares personnes le verbe et la plume.
Hugh Coltman, le plus parisien des français, a une nouvelle fois conquis son public avec ses belles chansons aux accents folk et soul.
Sur la grande scène, Lilly Wood & The Prick a chauffé comme il se doit le public avant Benjamin Biolay.
BB (pour les intimes) a célébré sa première fois aux Francos, pour l’occas’, il a invité une brochette d’artiste à monter sur scène avec lui : Jeanne Cherhal pour “Brandt Rhapsody“, Carl Barat pour “Vengeance“, et Orelsan pour “Ne Regrette Rien“.
J’ai lâché l’affaire pour Saez. Il a beau être l’un des meilleurs auteurs de France et de Navarre, j’ai eu du mal à l’écouter en live.
Et puis dans le patio, Super Pop Corn a essayé de décoincer le petit monde ultra propre et ultra pas concerné des VIPs. Avec plus ou moins de succès. Moi, j’ai dansé, mal, comme ils nous l’ont demandé.
Skip The Use clôturait la journée. Et fidèles à leurs habitudes ils ont mis le feu. Mais genre vraiment. Je reviendrai plus en détail sur ce concert-là. Stay tuned.